Elle ne nous livre pas d’emblée tous ses secrets : dans le fourmillement du dessin, dans la forêt des signes qui constitue la trame apparaît le visage : un collage remanié, tellement incorporé à l’ensemble qu’il en constitue la ponctuation, les points d’ancrage de son désordre apparent.

 

Car, pour l’artiste l’équilibre, en enrichit la substance par son apport de couleurs ; grâce à lui, « le tableau fonctionne comme une peinture ».

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Ainsi la grille constituée par l’amalgame de ces signes n’est pas l’artiste pseudonyme d’enfermement, mais plutôt en ce qu’elle révèle d’aller et de retours une sorte de miroir du subconscient d’où émerge la figure-repère.

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